samedi 13 décembre 2008

Georges Sand.

J'ai peur de vous. Plus je vous vois, et moins je vous devine. Vous me ballottez sur une mer d'inquiétudes et de doutes. Vous semblez vous faire un jeu de mes angoisses. Vous m'élevez au ciel et vous me foulez aux pieds. Vous m'emportez avec vous dans les nuées radieuses, et puis vous me précipitez dans le noir chaos ! Ma faible raison succombe à de telles épreuves. Epargnez-moi !


Pardonne à ces instants de haine que tu m'inspires, c'est que je t'aime avec passion, avec délire, avec désespoir.


L’art n’est pas une étude de la réalité positive ; c’est une recherche de la vérité idéale.


Le plus honnête des hommes est celui qui pense et qui agit le mieux, mais le plus puissant est celui qui sait le mieux écrire et parler.


Les chef-d’œuvres ne sont jamais que des tentatives heureuses.


Laissez-moi fuir la menteuse et criminelle illusion du bonheur ! Donnez-moi du travail, de la fatigue, de la douleur et de l’enthousiasme.